Le Château de Couches dit de Marguerite de Bourgogne est inscrit au titre des Monuments historiques. Que vous souhaitiez plutôt traverser les siècles lors d'une visite historique ou vous emparer de ce lieu emblématique le temps d'une journée ou d'une nuit, le Château de Couches vous propose une rencontre entre histoire, gastronomie et oenotourisme. Vous retrouverez, au sein de cette forteresse riche d'une histoire millénaire, un restaurant gastronomique, un caveau de dégustation pour découv rir les vins du domaine, des espaces privatisables pour vos évènements privés et professionnels mais également des chambres d'hôtes pour un séjour alliant charme d'antan et confort moderne.
Au cœur de la route romane qui relie les abbayes de Tournus et Cluny, perché sur un éperon rocheux, Brancion vous accueille et vous emmène à la découverte d’un Moyen Âge rêvé : porte fortifiée, donjon dominant le village et l’église romane, panoramas exceptionnels et flâneries dans un site entièrement piéton. Enserré dans un écrin de verdure, le château est un lieu où le temps semble s’être arrêté. Il a la particularité d’offrir une évolution de l’architecture castrale, de l’époque carolingienne aux guerres de Religion.
* Les ruines du logis de l’An Mil, l’un des rares exemples connus en France de grande salle seigneuriale du début du XIème siècle.
* Le château seigneurial des XIIème et XIIIème siècles avec le logis de Beaufort et ses tours défensives, la tour du Trésor et le donjon haut de plus de 20 mètres qui offre un panorama exceptionnel à 360°.
* Le château ducal du XIVème siècle avec le logis de Beaujeu dont les magnifiques baies polylobées et les cheminées monumentales témoignent de la grandeur passée.
Blotti entre le château et l’église, le village offre un dédale de ruelles fleuries où il fait bon flâner. Sur la place centrale (le "plâtre commun"), se dresse la halle du XVIème siècle.
D’époque romane, l'église Saint-Pierre domine un paysage préservé, forgé par des centaines de générations de paysans. Elle abrite des peintures murales de la fin du XIIIème siècle et le gisant de Josserand de Brancion, mort à la bataille de la Mansourah en 1250 (7ème croisade).
Juste à côté se trouve le jardin de simples créé par l’association TREMPLIN Homme et Patrimoine.
Propriété familiale, construite par les aïeux des propriétaires actuels pour protéger l'abbaye de Cluny, Berzé domine un superbe panorama sur les vignobles de la vallée de Solutré. Construit du XIème au XVème siècle autour de sa chapelle carolingienne, ce château conserve tout son système défensif, treize tours dont deux donjons, son impressionnant châtelet d'entrée et ses salles médiévales.
C'est ainsi la plus importante et la mieux conservée des forteresses de Bourgogne.
Le château comprend trois enceintes. Chacune d'elle abrite des jardins divers, vergers, potagers, jardin à la française avec ses buis, ses statues, ses charmilles et ses grands ifs taillés en pions d'échec. Du haut de ses terrasses, la vue est splendide sur le Val Lamartinien avec ses vignobles en toile de fond.
Lieu de tournage Hollywoodien "The Last Duel" avec Matt Damon et Ben Affleck, Adam. Driver et Jodie Cormier de Ridley Scott.
En saison, la taverne vous propose rafraîchissements, glaces, gaufres et petite restauration de 10h00 à 18h00 !
Monument historique meublé XVIIIe, le château de Digoine, situé au cœur d'un vaste domaine de 35 hectares, est un témoin de notre patrimoine passé mais également présent, que nous prenons plaisir à vous faire découvrir au quotidien. Les jardins classés "Jardin Remarquable" sont à découvrir en visite libre. Le théâtre à l'italienne de 1842, restauré depuis 2022, a accueilli Jacques Offenbach ou encore Sarah Bernhardt.
Le Château de Digoine est également un lieux de tournage emblématique de l'émission "Secrets d'Histoire", présentée par Stéphane Bern, créée et toujours produite par le propriétaire des lieux M. Jean-Louis Rémilleux.
Forteresse médiévale au milieu du vignoble, à l'architecture militaire : donjon carré du XIIe siècle, tours, courtines et chemin de ronde du XIVe siècle avec créneaux, mâchicoulis, meurtrières... La grande cour est entourée d'harmonieux communs du XVIIIe siècle couverts du plus grand ensemble de toits de pierre en Bourgogne. Terrasse avec vue sur la vallée de la Saône. Parc à l'anglaise. La grande cuisine voûtée du donjon comporte une cheminée monumentale du XVe siècle.
Le château-fort, au sein duquel naquit saint Hugues, le grand Abbé de Cluny, conserve son donjon carré roman, le plus ancien de Bourgogne (X-XIèmes siècles), haut de 22 mètres et divisé en 4 niveaux. Au devant, deux tours en demi-lune (XIIème siècle) protégeaient la porte d’entrée à pont-levis et herse, aujourd’hui bouchée. A la veille de la Révolution, elles sont aménagées en prison. Un édifice est construit au devant des tours pour abriter cellules et maison du geôlier. Il abrite aujourd'hui des salles d'exposition sur la généalogie de Saint-Hugues et une collection d'affiches de la période révolutionnaire.
L’une des plus grandes écuries privées d'Ancien Régime en France. Le domaine est dans la même famille depuis six siècles. Les écuries ont été bâties entre 1648 et 1652 par Henriette de La Guiche, filleule d’Henri IV, pour la garde princière de son époux, Louis Emmanuel de Valois, petit-fils du roi Charles IX, colonel général de la cavalerie légère. François Blondel, architecte de Louis XIV, revendique en être l’auteur.
Les façades richement ornées de ce palais équestre, rythmées par deux escaliers monumentaux, ont été préservées à la Révolution. L’architecture et l’agencement intérieurs, inspirés d’un ingénieux projet de Léonard de Vinci, en font les plus italiennes des écuries de France.
Ce château fortifié possède six tours rondes ou carrées (dont une dite "La Panneterie" datant de 1300 environ) plus un colombier dans un jardin attenant. La cour interne est fermée de murailles. Les bâtiments de ferme se trouvant dans l’enceinte datent du XVIIème au XIXème siècle.
L'intérieur du logis se compose de 4 grandes "chambres" avec leurs cheminées et des "cabinets", d'une petite chapelle sur laquelle repose un colombier. L'ensemble du domaine est constitué d'une "garenne" (bois de buis et chênes), d'un verger conservatoire de variétés fruitières du XVIe siècle, d'une vigne conservatoire d'anciens cépages susceptibles d'être présents au XVIe siècle (50), d'un conservatoire de 80 cépages de chardonnay et d'un jardin poétique.
Château de Montcony, datant du 13ème siècle, classé monument historique. Visite du parc et des extérieurs lors des journées du patrimoine.
L'association Castrum Lordo et ses bénévoles travaillent tous les jeudis pour préserver ce site qui fut un des plus importants château de Bourgogne, étroitement lié à l'histoire de l’abbaye de Cluny.
Démoli en 1632 par des mines en préservant volontairement la salle d'apparat de Jacques d'Amboise, le jeu de paume, les écuries, les restes du château ont été sans doute utilisés comme bâtiments agricoles au profit des moines jusqu’à la révolution.
La visite du château nécessite une bonne mobilité et des chaussures de marche. Les animaux sont admis mais tenus en laisse.
De ce Château, pillé après la Révolution puis abandonné, il reste des vestiges qui nous rappellent son passé prestigieux.
Contre la base de la tour d’Alone, tour carrée du XIIème siècle, s’appuient les bases des courtines reconstruites au XVIIIème siècle, flanquées de trois tours rondes. Une quatrième tour ronde reste à découvrir. La tour septentrionale offre une salle voûtée très bien conservée qui abrite une population de petites chauves-souris. Ces vestiges, partiellement entourés des douves, montrent l’emplacement du pont-levis des XVIème-XVIIème siècles.
Les bâtiments de la basse-cour dont celui des communs font penser à un petit château et sont conservés.
La chapelle castrale agrandie en habitation a résisté à l’incendie de 1953.
Ce château a connu des personnages célèbres. Françoise de Toulonjon, épouse d'Antoine de Toulonjon, était la fille de sainte Jeanne de Chantal et la tante de la marquise de Sévigné. Leur fille, Gabrielle de Toulonjon a épousé Roger de Rabutin comte de Bussy. Le dernier propriétaire fut Charles Gravier de Vergennes.
Situé entre Beaune et Autun, en Saône et Loire, à la frontière de la Côte d'Or, le Château de Morlet est aujourd'hui assez méconnu. Les différents bâtiments qui le composent sont pourtant remarquables: Sa Porterie et ses incroyables Mascarons, le Château et son Parc à l'anglaise, tous inscrits au registre des monuments historiques.
De la fin du XIIIéme siècle au XXIéme siècle, les propriétaires successifs ont agrandi ou embelli le château selon les nécessités, la mode de l'époque et leurs moyens financiers. Et toujours en harmonie avec le site calme et buccolique du village.