La visite des carrières de la Lie retrace 2000 ans d'histoire d'extraction de la pierre, de sarcophages mérovingiens et gallo-romains. Reconstitution d'une tuilerie et d'un four gallo-romain.
Le sentier botanique nous permet de découvrir divers milieux : pelouses calcaires, forêt, mare.
Groupe restreint de moins de 10 personnes, port du masque obligatoire pour la fin de la visite en milieu fermé.
Point de vue incontournable à ne pas manquer. Le Mont Saint-Cyr culmine à 771 mètres d'altitude. Il s'agit du plus haut sommet de la Bourgogne du sud.
Du haut du sommet, le panorama est aussi vaste que varié (Charolais, Brionnais et Clunisois). À ses pieds, on découvre les vallées profondes, les collines boisées, les coteaux recouverts d’une riche végétation et tout au bas, le bourg de Montmelard. Depuis les tables d’orientation vous permettant de vous repérer, vous pourrez, par temps très clair, apercevoir le sommet du Mont Blanc. Vous marcherez sur les traces romantiques d’un monastère du Xe siècle, détruit durant les guerres de religion. Une aire de pique-nique aménagée en pleine forêt permet de s’y reposer en toute tranquillité. Site ouvert toute l’année, accès libre dans le respect de l’environnement.
Citée pour la première fois en 1075, cette chapelle est aujourd’hui englobée dans une villa moderne du 19e siècle. Située au sud de l’abbaye, sur une colline, à proximité de la porte Sainte-Odile (anciennement Odilon), elle était dédiée au saint Odilon de Mercœur, cinquième abbé de l’abbaye de Cluny dont le culte s’est largement développé au milieu du 11e siècle.
Certainement construite dans la deuxième moitié du 11e siècle, elle était entourée d’un petit cimetière et a été le lieu de signature de plusieurs actes. La chapelle est une propriété privée qui ne se visite pas.
Les chefs d’œuvre des soldats artistes racontent 1914-1918. Lorsque la guerre éclate en août 1914, les soldats français partent la fleur au fusil persuadés d'être rapidement de retour chez eux. Mais la guerre s'enlise. Au front dans les tranchées ou à l'arrière, pendant les courtes périodes de repos, les poilus commencent à fabriquer une multitude d'objets... Leur première vocation est utilitaire : le briquet indispensable pour chauffer le vin gelé, griller une gauloise, vient remplacer les allumettes trop humides, les lampes ou les bougeoirs permettent de s'éclairer, les cannes de marcher sans s'embourber. Ensuite pour tromper l'angoisse entre deux assauts, défier l'ennui, s'occuper l'esprit, les poilus se mettent à fabriquer des cadeaux qu'ils destinent à leur famille : timbales ou bracelets, cadres photos, parures de bureaux, vases... A l'occasion des commémorations du centenaire de la mobilisation d'août 1914, plus de 1000 chefs-d’œuvres de poilus sont exposés sur 420 m² : douilles sculptées, cannes, broderies, briquets, bagues, encriers, coupe papiers, lampes, avions, casques miniatures, plumiers... sans oublier les objets rapportés de captivité. Des panneaux explicatifs avec des centaines de cartes postales anciennes et documents: les front et les tranchées, les événements, la propagandes batailles... La reconstitution de scènes d'époques (un champ de bataille, abri sous terrain, fabrication d'objets dans une tranchée, l'arrière du front, la captivité en Allemagne) et des vision de vues stéréoscopiques.
Sur les traces des compagnons charpentiers... !
Venez découvrir les chefs-d’œuvre des compagnons charpentiers et l'histoire de l’école de tracé de charpente fondée en 1871 à Romanèche-Thorins. Son fondateur Pierre-François Guillon, compagnon charpentier, transmettait à ses élèves un enseignement en dessin, découpe des matériaux et techniques des métiers du bois. Le tracé de charpente et le compagnonnage sont inscrits par l’UNESCO au patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Visitez le musée en famille avec le parcours enfants de 3 à 8 ans.
Dernière visite 1 heure avant la fermeture (de novembre à février inclus).
L'Hôtel-Dieu de Tournus, un témoin privilégié de l'histoire hospitalière. Construit au XVIIe siècle puis agrandi jusqu'à la fin du XVIIIe, l'Hôtel-Dieu de Tournus, avec ses trois salles des malades, ne craint pas de rivaliser avec celui de Beaune.
Les salles anciennes ont été restaurées avec leur mobilier d'origine de façon à restituer l'atmosphère d'alors.
Les traditionnels lits clos en chêne sont encore alignés avec leur poêle central, les ustensiles d'époque.
Construite en 1856, l'église de Massilly sous le vocable de Saint-Denis, est citée à plusieurs reprises dans le recueil des chartes de l'Abbaye de Cluny. Elle appartenait à l'ager de Merzé, centre de peuplement situé sur la rive droite de la Grosne, et qui a presque totalement disparu. En 1675 l'église avait sa nef et son chœur bien voûtés et couverts de laves.
L'ancienne église de Massilly, très probablement romane, se composait d'une nef unique, d'une travée de chœur plus étroite, supportant un haut clocher carré que couvrait une flèche à quatre pans, et d'une abside semi-circulaire. L'acte de visite du 27 juillet 1716 mentionne dans l'église, à gauche, une chapelle de Saint Denis. Cette église fut vendue pour 38000 livres à plusieurs acheteurs le 12 Nivôse an 7.
Le nouvel espace muséographique de la Maison des Patrimoines offre, aux petits et grands, un parcours interactif et coloré, ponctué de nombreux jeux et supports pour (re)découvrir l’histoire Matourine et de la Bourgogne du Sud. Vous irez à la rencontre de personnages emblématiques qui ont marqué leur région et leur époque.
Pour pimenter votre visite en famille, un jeu de piste vous emmène à la recherche d’un trésor perdu qui n’a cessé au cours de son histoire de passer de mains en mains… Il vous faudra faire preuve d’ingéniosité et d’esprit d’équipe pour répondre aux énigmes à travers le musée, et résoudre l’enquête ! Pour jouer, procurez-vous la valise d'enquêteur en location à l'accueil et partez pour 2h d'aventure ! Sur réservation.
BON PLAN = Du 6 juillet au 31 août, la Maison des Patrimoines propose tous les mardis de 14h à 17h des animations pour les enfants de 6 à 10 ans. Pour toute participation à un atelier sur cette période, bénéficiez d’un tarif réduit sur la visite du musée.
Et tous les Samedis du 16 Mars au 31 Août, retrouvez des ateliers pour adultes et familles, sur de nombreuses thématiques environnementales, naturalistes, DIY, créatives, et bien d'autres.
La Maison des Patrimoines, c'est aussi un riche programme d'animations à destination des scolaires et des centres de loisirs toute l'année !
Et bien sûr, des évènements, des concerts, des marchés de producteurs, à ne surtout pas manquer.
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Construite à l’articulation des esthétiques romanes et gothiques, la “Maison des Dragons” est d’un intérêt de tout premier ordre. Sa très belle claire-voie est classée “Monument Historique”. A l’intérieur, d’importants aménagements et équipements témoignent de la vie domestique médiévale et suscitent aujourd’hui la curiosité des visiteurs.
Durant toute la durée des études et de sa restauration, cette maison qui est l’une des rares demeures romano-gothiques du territoire français aujourd’hui accessibles au public, s’offrira à la visite, pour une découverte d’une très grande richesse historique
Classé monument historique, il enjambe la rivière Saône et relie le département de l'Ain. Construit en pierre, il fut l’un des rares ponts de la région à ne pas être détruit pendant la deuxième guerre mondiale. Depuis cette période, il n’a pas changé d’aspect, il compte douze arches et l'on peut apercevoir sur l'une d'entre elles une statue de Saint-Nicolas, patron des mariniers.
L'association Castrum Lordo et ses bénévoles travaillent tous les jeudis pour préserver ce site qui fut un des plus importants château de Bourgogne, étroitement lié à l'histoire de l’abbaye de Cluny.
Démoli en 1632 par des mines en préservant volontairement la salle d'apparat de Jacques d'Amboise, le jeu de paume, les écuries, les restes du château ont été sans doute utilisés comme bâtiments agricoles au profit des moines jusqu’à la révolution.
La visite du château nécessite une bonne mobilité et des chaussures de marche. Les animaux sont admis mais tenus en laisse.
Cette église romane compte deux nefs, l'une qui servait à la paroisse, l'autre pour un prieuré de moniales. A voir : les portails décorés, les fresques romanes de l'abside (XIe-XIIe s.) , les vestiges du prieuré.