Cette chapelle désaffectée, ancienne église paroissiale, appartenait peut-être aux seigneurs du château situé à quelques kilomètres du cimetière. La nef a disparu. Le chevet et le clocher sont d'époque romane et deux chapelles gothiques encadrent le clocher. La date de 1240 est visible sur cette chapelle.
Perchée sur la colline qui se prolonge jusqu’au château fort, l’église Saint-Laurent de Rully domine le village dont les maisons se regroupent à ses pieds le long de la Thalie.
Dès 920, dans son testament, Hervé de Vergy nommé évêque d’Autun donne à son chapitre de Saint-Nazaire sa villa de Ruiliacum avec son église. Une reconnaissance de redevance à la maison hospitalière de Bellecroix, datée de 1263, précise que l’église se dressait déjà à son emplacement actuel.
Le transept et le chœur furent reconstruits dans la première moitié du XVe siècle, puis le chœur fut agrandi à sa dimension actuelle en 1749.
Après l’effondrement du mur méridional de la nef en 1849, la municipalité profita des travaux de reconstruction pour allonger la nef de 7 mètres et refaire la façade dans le style néo-gothique que nous lui connaissons aujourd’hui.
Enfin en 1911, le clocher et le chœur furent rehaussés.
Ce lavoir communal, conçu pour 18 laveuses, a été construit en 1829, selon les plans de l'architecte chalonnais Zolla. Il est couvert d’une toiture en laves reposant sur une voûte de pierre. Sa forme “en haricot” est unique en Bourgogne. Grande harmonie des courbes et des ellipses se reflétant dans le bassin. Le lavoir a été restauré entre 2001 et 2010 par des chantiers internationaux de bénévoles sous l’égide de REMPART.
Vaste parc d’une centaine d’hectares il propose diverses activités : parcours santé, golf, swin golf, arboretum, zone de pique nique, équipements sportifs (foot américain, foot anglais, base-ball, tir à l'arc), yacht club, et roseraie. un cheminement piétonnier de 3 km environ trace l’histoire de la rose depuis les rosiers botaniques jusqu’aux hybrides modernes (200 variétés), ainsi qu'un restaurant .
L'église, consacrée à Saint-Antoine, est le résultat de différentes périodes de construction qui peuvent se lire sur les pierres extérieures, en particulier au chevet. Certains documents font remonter les parties les plus anciennes au XIe siècle, les plus récentes au XIXe. L'homogénéité d'apparence romane est donnée par des ouvertures en plein cintre sur l'ensemble de la construction.
La basse vallée du Doubs, classée zone Natura 2000, est un véritable joyau ornithologique et floristique. Cet espace abrite une faune et une flore particulièrement diversifiées que l’on peut découvrir en empruntant un sentier de randonnée.
La construction de l'église pourrait remonter au XIe siècle. Sa construction a dû coïncider avec la fondation, au XIe siècle, par les Moines de l'Abbaye de Saint-Marcel, d'un prieuré à Pontoux.
Le Centre d'Interprétation Archéologique de Chassey Le Camp - CIACC - créé en 2018, a pour objet de mettre en valeur les découvertes du 19è et du 20è siècle, réalisées sur le site même de la commune. Au travers de 6 panneaux d'interprétation et de 6 vitrines exposant les soixante objets et artéfacts authentiques issus des musées Rolin d'Autun et Denon de Chalon sur Saone, le CIACC met en relief la présence humaine sur le site, allant du "chasséen" (-4500 av JC) jusqu'à l'époque mérovingienne (476 ap. JC) - soit près de 5.000 ans d'occupation.
Textes, photos, croquis et objets agrémentent ce véritable "petit musée" à découvrir sans modération.
Des dépliants sont mis à disposition des visiteurs qui pourront visiter à leur convenance le site, traversé par le GR 7.
Eglise du début du XIIIe, agrandie au XVIe siècle, placée sous le vocable de saint Symphorien, elle domine de son clocher rectangulaire Mercurey et la côte chalonnaise. Face à elle sur la colline de Mercurey on trouve l’église romane Notre Dame (XIIe siècle) point de passage des pèlerins en route vers Compostelle.
L'église de Touches, orientée est-ouest, offre un aspect massif avec ses contreforts, son imposant clocher à quatre pignons et à deux étages de baies géminées, sa couverture en partie de pierres de lave. Elle est dédiée à Saint Symphorien, jeune martyr décapité à Autun. Sa restauration intérieure et extérieure récente donne à l’édifice un intérêt tout particulier.
Ce musée perpétue le souvenir du combattant, en particulier français. Il œuvre pour la sauvegarde du patrimoine et de la mémoire nationale. Collections d'armes, uniformes, drapeaux, journaux, gravures, témoignages ; importante bibliothèque.
L’église est placée sous le patronage de saint Pierre-aux-Liens, patron des moissonneurs. En 1730 l’état de l’église, proche de la ruine, conduit à sa reconstruction complète en briques et carreaux. Cet édifice est victime de la foudre qui frappe le clocher dans la nuit du 23 au 24 mai 1907.
Le bâtiment actuel, ''Gîte de la Chapelle'', fait partie des restants d'une ancienne Chapelle du XIVème siècle. Un panneau fournissant de plus amples renseignements ainsi qu'un lien (QR Code) vers un document historique très complet, est implanté à l'origine de la Rue de la Chapelle.